Raid Afrique - Etape 41: Agadez – In Guezzam |
Un désert n’a rien de spécialement folichon, ni de particulièrement excitant… Alors dans une brume épaisse comme un rideau de coton, vous imaginez ce que ça donne ?
Non ?
Eh bien, écarquillez vos yeux sur le reportage photo de cette étape Agadez – In Guezzam où un petit brouillard persistant, digne du plus beau Fog londonien, ne nous aura pas lâché d’une semelle.
Si vous arrivez à compter les grains de sable, c’est que vous avez vraiment une excellente vue !
Ce voile gris, monotone, cafardeux, c’est de bout en bout qu’il nous aura tenu compagnie. A chaque instant, nous espérions le voir se dissiper, mais bernique, nous y avons eu droit sur la totalité du parcours. Sans doute encore un peu plus consistant et perfide à l’arrivée qu’au départ.
Dans une telle mélasse, nul n’a envie de se péter la rate de rire.
Dans ces conditions, allez donc user de la pellicule pour garder des souvenirs. Nous n’exposerons certes pas les clichés de cette étape dans une galerie d’art…
Et le pire, c’est qu’il y avait tout de même un vent assez fort, presque de plein travers, au décollage comme à l’atterrissage. Merci, monsieur le palonnier, d’exister !
On n’a pas tort de dire que l’aventure, c’est l’aventure !
Non ?
Eh bien, écarquillez vos yeux sur le reportage photo de cette étape Agadez – In Guezzam où un petit brouillard persistant, digne du plus beau Fog londonien, ne nous aura pas lâché d’une semelle.
Si vous arrivez à compter les grains de sable, c’est que vous avez vraiment une excellente vue !
Ce voile gris, monotone, cafardeux, c’est de bout en bout qu’il nous aura tenu compagnie. A chaque instant, nous espérions le voir se dissiper, mais bernique, nous y avons eu droit sur la totalité du parcours. Sans doute encore un peu plus consistant et perfide à l’arrivée qu’au départ.
Dans une telle mélasse, nul n’a envie de se péter la rate de rire.
Dans ces conditions, allez donc user de la pellicule pour garder des souvenirs. Nous n’exposerons certes pas les clichés de cette étape dans une galerie d’art…
Et le pire, c’est qu’il y avait tout de même un vent assez fort, presque de plein travers, au décollage comme à l’atterrissage. Merci, monsieur le palonnier, d’exister !
On n’a pas tort de dire que l’aventure, c’est l’aventure !